À Strasbourg, comme partout, la crise du logement est le produit d’un système où le droit à un toit est sacrifié sur l’autel du profit. Les loyers explosent pendant que des milliers de logements restent vides, gardés par des investisseurs en quête de rentabilité. L’accès au logement social devient un parcours du combattant, les passoires énergétiques étranglent les classes populaires, et la spéculation immobilière chasse les habitants les plus modestes, défigurant les quartiers populaires au nom de la rentabilité. Le logement est devenu une marchandise, soumise aux logiques voraces du capital.
Face à cela, nous refusons l’impuissance. Nous portons une ambition claire : faire du logement un bien commun, protégé de la spéculation et accessible à toutes et tous.